Cablecom = des années lumières de retard ?!

Bonjour à tous,

rentré de vacances chez des amis, j'ai pu vivre une expérience très intéressante.

Il y a de ça quelques décennies, Cablecom était leader au niveau europe avec l'arrivée en suisse de cet opérateur et surtout avec internet sur le câble...

Maintenant, je suis toujours chez eux avec une médiabox HD mais seulement, j'ai eu le malheur de jouer hier chez un ami français avec sa Freebox !!!!

Oulalalalaaaa !!! mon dieu ! mais mais mais....c'est juste une folie ?

Boîtier quasi de la taille d'un disque 3.5" externe
Quantitié de connectiques imprésionnantes ! (2 usb libres, 2 hdmi, son dts ...)
Une ge

• stion magnifique !
  Interface superbe et très user friendly
  Disque dur pour enregistrement
  Des possibilités intéressate à exploiter tel que, connexion via ethernet (ou wifi) sur son poste des travail afin d'expl

oiter celui-ci comme média center (au traver d'un soft dans la freebox qui lit les fichiers média)

....

alors ? Messieurs de cablecom ? .....

A part bosser sur le "comment emm...les gens avec du cryptage à tout va", sans parler des reliques de décodeurs que vous nous refourguer...quand penser vous réellement nous mettre à disposition quelque chose de "valable" au prisx que l'on paie ?! ( à oui ptit détail, freebox est moins cher qu'on abo digital TV avec les chaines HD minimum...)

Voilà c t mon pti coup de gueule en espèrant sincérement qu'en suisse on se reprenne un peu niveau techno car le pire...c'est que le 50% des ingénieurs qui ont bossé là dessus sont chez nous :S

au plaisir

Il faut comparer Cablecom avec Numéricable. pour Free c'est plutôt avec Swisscom qu'il faut le faire

Faut pas critiquer ... c'est pas bien

JM

Heureusement que je ne suis plus chez cablecom
Canalsat Suisse m'envoie une facture avec un délai de paiement de 30 jours tandis que ces voyous de CC donnent un délai de 10 jour pour payer une facture.

Il n'y a pas que le niveau technologique où ils sont nuls Ils sont les champions de l'incompétence à tous les niveaux. Mais heureusement pour eux que le téléspectateur suisse ne raisonne pas comme le "dilemme du prisonnier"; les économistes comprendront