- potdeterInvité
Une mère en grève de la faim
Mar Mar 15 2011, 14:01
Au 23,rue Ferdinand Hodler,devant l'assurance la Baloise, cette mère fait une grève de la faim, elle commence sa 3 ème semaine, la tribune et la TV Léman Bleu a relaté le parcours de cette mère, son combat, sa fille a une maladie Chronique et depuis 8 ans,bataille juridique, contre la Baloise qui devait allouer une rente mensuelle en cas de maladie, causant une invalidité, maîs bataille d'experts, de contre-expertise et cette mère se bat pour son enfant pour que celle-ci puisse vivre dignement, combat du pot de fer contre le pot de terre
Apportez du réconfort à cette personne qui est là,depuis 7h le matin à 16h, debout avec son panneau ou elle explique cette injustice, l'aider moralement à tenir, car sa santé est bien mise à l'épreuve.
Apportez du réconfort à cette personne qui est là,depuis 7h le matin à 16h, debout avec son panneau ou elle explique cette injustice, l'aider moralement à tenir, car sa santé est bien mise à l'épreuve.
- morettoNouveau regard
- Date d'inscription : 15/03/2011
Nombre de messages : 2
Re: Une mère en grève de la faim
Mar Mar 15 2011, 14:20
Cas dramatique de cette mère qui travaille au urgences comme aide-soignante à l'hopital cantonal ou elle a donné et donne encore depuis 40 ans tant de dévouement aux services de la collectivité.
Qui peut l'aider?, les médias?, pour informer les citoyens Genevois de ce cas, ces injustices flagrantes à l'égard de sa fille, 8 ans de procédures,un combat de titan et pour finir à la rue en faisant une grève de la faim
Qui peut l'aider?, les médias?, pour informer les citoyens Genevois de ce cas, ces injustices flagrantes à l'égard de sa fille, 8 ans de procédures,un combat de titan et pour finir à la rue en faisant une grève de la faim
- BAISINRegard momifié
- Age : 61
Date d'inscription : 22/07/2009
Nombre de messages : 4124
Localisation : grenoble france
Opérateur TV : neant
Re: Une mère en grève de la faim
Mar Mar 15 2011, 18:34
C'est le point faible de la Suisse:Il n'y a pas d'assurance maladie de qualité,contrairement à la France,avec la Securité Sociale,depuis 1945.Malgré le lobby malhonnete du groupe AXA qui voudrait supprimer cette institution respectable.Malheureusement,il y a beaucoup de gens peu scrupuleux qui essaient d'en abuser
Re: Une mère en grève de la faim
Mar Mar 15 2011, 20:06
Tu sais même pas de quoi tu parles BAISIN... C'est usant
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IPTV : SUNRISE TV
- potdeterInvité
Re: Une mère en grève de la faim
Mar Mar 15 2011, 21:13
En effet et pour parvenir à être écoutée, elle dénonce par une grève de la faim, le manque d'impartialité des experts d'assurance devant la compagnie.
Soutenez-là, demain cela peut vous arriver!
Soutenez-là, demain cela peut vous arriver!
- KatiaInvité
Une mère en grève de la faim
Mer Mar 16 2011, 14:34
Accompagnée de mes enfants, j'ai fait la connaissance de Mme Lacour ce matin. Assise sur une petite chaise,à la rue Ferdinand Hodler 23, devant le siège des Assurances la Bâloise, elle est en grève de la faim depuis plus de 2 semaines... Je ne comprends pas !!! Je suis scandalisée par cette situation. Je ne sais pas si j'aurais eu sa force et sa ténacité, son courage et son amour, pour braver l'Assurance la Bâloise qui ne veut toujours pas indemniser sa fille très malade et ceci depuis des années.... Je suis révoltée... Je souhaite, Mme Lacour, que votre combat soit couronné de succès et j'epère que l'assurance réagira vite car ce matin vous étiez fort faible... que JUSTICE SOIT FAITE ENFIN !!!!!!
- miky01Regard hypnotisé
- Date d'inscription : 08/06/2007
Nombre de messages : 1403
Localisation : A 5km de Genève
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Re: Une mère en grève de la faim
Jeu Mar 17 2011, 15:09
Je suis aussi scandalisé de cette situation, si qqun a le N° de portable de cette maman, on pourait lui envoyer des messages de solidarité, elle doit en avoir bien besoin.
Re: Une mère en grève de la faim
Jeu Mar 17 2011, 16:06
A titre préventif, merci de ne pas publier de numéro de téléphone sur le forum, ni de coordonnées privées. Potdefer/Moretto s'étant ouvert un compte, il pourra éventuellement transmettre toutes les infos utiles aux personnes intéressées par MP (Message Privé). A noter qu'il faut avoir posté au préalable 3 messages sur le forum (avec le compte enregistré) pour débloquer la fonction de messagerie.
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IPTV : SUNRISE TV
Re: Une mère en grève de la faim
Jeu Mar 17 2011, 16:35
Selon moi, il faut prévenir LémanBleu, le 20min et le Matin de l’existence de cette démarche. Avec quelques articles bien en vue, la Baloise va très vite réagir !
Sans faire de politique, je pense que mettre Maître Mauro Poggia sur l'affaire serait également opportun.
plus d'info ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mauro_Poggia
Sans faire de politique, je pense que mettre Maître Mauro Poggia sur l'affaire serait également opportun.
plus d'info ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mauro_Poggia
Re: Une mère en grève de la faim
Jeu Mar 17 2011, 18:29
Me Poggia est spécialisé dans les assurances maladies. Je ne sais pas s'il est spécialisé dans les autres formes d'assurances, mais pour préciser clairement les choses (cf message à côté de la plaque de BAISIN), les assurances maladies n'ont rien à voir dans cette affaire.
Il y a l'assurance invalidité d'une part, qui je crois à accepté de rencontré cette dame, et c'est surtout l'assurance vie (de la Bâloise) de l'autre part qui, elle, refuse catégoriquement d'entrer en matière.
Il y a l'assurance invalidité d'une part, qui je crois à accepté de rencontré cette dame, et c'est surtout l'assurance vie (de la Bâloise) de l'autre part qui, elle, refuse catégoriquement d'entrer en matière.
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- potdeferInvité
Aide morale par votre passage, présence, important
Ven Mar 18 2011, 17:18
Madame Lacour va entamer lundi prochain, sa 4 ème semaine de grève de la faim.
Elle est encore encore debout moralement et physiquement, encouragée par beaucoup de personnes qui se sont déplacées, qui lui font part eux aussi de leur indignation devant cet état de fait, comme elle le dit, elle le fait pour sa fille et pour les autres aussi qui sont dans cette situation, tous les jours, elle est confrontée à son travail à l'hôpital Cantonal à voir des cas dramatiques, des personnes impuissantes à continuer le combat et qui sombrent dans le désespoir après des années de lutte pour obtenir une reconnaissance de leur maladie, quelquefois ne trouvent plus la force de continuer, voir le suicide de ce Monsieur il y a quelques mois, auquel l'AI à 65 ans avait décidé de stopper ses aides AI.
Les personnes qui cherchent à l'aider comme lu dans le forum, peuvent l'aider en effet, elle est présente du lundi au vendredi de 7h à 16 h tous les jours au 23, rue Ferdinand Hodler,devant l'assurance la Baloise, ou Madame Lacour a souscrit pour sa fille une assurance invalidité et qui a ce jour, n'a pas donné cette indemnité, malgré sa maladie reconnue.
L'AI après une entrevue récente à reconnu des lacunes et le dossier a été déposé à nouveau, attente de nouvelles expertises.
Comme le signale luder, rien à voir avec les assurances maladie
Qui mieux qu'elle, pourrait expliquer son combat de 9 années de procédure, elle y a perdu ses économies pour les frais d'avocat, il lui reste un peu d'espoir, aider là par votre passage,présence.
En effet, comme l'indique Atari dans ce forum , Me Poggia est une personne qui est spécialisée dans les assurances maladie et il réclame des experts neutres dans les procédures et pas ceux des assurances qui sont payés par ces dernières, comment croire que ces experts payés à 9000 frs leur expertise par leurs propres employeurs, les assurances puisse être neutres et du coté de la plaignante, un scandale, j'espère qu'un jour Me Poggia va enfin gagner gain de cause dans son combat envers ses injustices flagrantes.
Elle est encore encore debout moralement et physiquement, encouragée par beaucoup de personnes qui se sont déplacées, qui lui font part eux aussi de leur indignation devant cet état de fait, comme elle le dit, elle le fait pour sa fille et pour les autres aussi qui sont dans cette situation, tous les jours, elle est confrontée à son travail à l'hôpital Cantonal à voir des cas dramatiques, des personnes impuissantes à continuer le combat et qui sombrent dans le désespoir après des années de lutte pour obtenir une reconnaissance de leur maladie, quelquefois ne trouvent plus la force de continuer, voir le suicide de ce Monsieur il y a quelques mois, auquel l'AI à 65 ans avait décidé de stopper ses aides AI.
Les personnes qui cherchent à l'aider comme lu dans le forum, peuvent l'aider en effet, elle est présente du lundi au vendredi de 7h à 16 h tous les jours au 23, rue Ferdinand Hodler,devant l'assurance la Baloise, ou Madame Lacour a souscrit pour sa fille une assurance invalidité et qui a ce jour, n'a pas donné cette indemnité, malgré sa maladie reconnue.
L'AI après une entrevue récente à reconnu des lacunes et le dossier a été déposé à nouveau, attente de nouvelles expertises.
Comme le signale luder, rien à voir avec les assurances maladie
Qui mieux qu'elle, pourrait expliquer son combat de 9 années de procédure, elle y a perdu ses économies pour les frais d'avocat, il lui reste un peu d'espoir, aider là par votre passage,présence.
En effet, comme l'indique Atari dans ce forum , Me Poggia est une personne qui est spécialisée dans les assurances maladie et il réclame des experts neutres dans les procédures et pas ceux des assurances qui sont payés par ces dernières, comment croire que ces experts payés à 9000 frs leur expertise par leurs propres employeurs, les assurances puisse être neutres et du coté de la plaignante, un scandale, j'espère qu'un jour Me Poggia va enfin gagner gain de cause dans son combat envers ses injustices flagrantes.
- potdeferInvité
Cachez ce mort qu'on ne saurait voir
Ven Mar 18 2011, 17:28
Voici le cas désespéré de cet homme un 12 novembre ..
LES DESSOUS D’UN FAIT DIVERS
Jeudi 11 novembre peu après 7 heures du matin, le corps d’un homme est retrouvé, pendu à un arbre « devant un site administratif » (Tribune du 12 novembre
pour quelle raison a-t-il choisi de se pendre ainsi à la vue de tous , notamment des élèves et enseignants de l’Ecole de culture générale Henry-Dunant située légèrement en retrait du bâtiment fédéral ? ». Comprenez que lorsque l’on est à ce point désespéré, il devrait néanmoins subsister suffisamment de lucidité pour faire cela dans l’intimité !
Une piste est néanmoins esquissée, comprenne qui pourra : « La veille de son passage à l’acte, le désespéré a été vu sur les lieux, porteur d’une pancarte évoquant une demande administrative non satisfaite ».
Il est mort. Paix à son âme. Circulez y a rien à voir !
Pourtant, derrière ce geste, ce n’est pas seulement le drame d’un homme que l’on devine, mais la souffrance anonyme et silencieuse de tous ceux que notre administration broie sans état d’âme, au nom du sacro-saint assainissement de nos finances, pour qui tout rentier AI est un profiteur présumé qu’il convient de démasquer.
Vous l’aurez compris, ce que l’on ne vous a pas dit, c’est que cet Espagnol de 57 ans, retourné vivre dans son pays pour tenter de subsister dignement avec la modeste rente d’invalidité qui lui avait été accordée voici plusieurs années, s’était vu brutalement supprimer toute prestation au motif qu’il avait désormais retrouvé sa capacité de travail (sans doute un nouveau miracle que l’on doit au climat des pays qui nous ont fourni tous ces manœuvres, maçons et ouvriers de toutes sortes à qui l’on doit la construction de nos routes et bâtiments)
Parions que l’Office AI pour les assurés domiciliés à l’étranger, auteur de cette décision, et ayant son siège précisément à proximité de l’arbre choisi pour ce funeste dessein, a fondé sa décision sur l’un de ces remarquables rapports médicaux, établis par ces médecins, mercenaires de la sale besogne, dont la diligence est rémunérée 9000 francs « la pièce », ce qui, pour le Tribunal fédéral, ne suffirait pas encore à les rendre suspects de partialité, contrairement aux médecins traitants, dont l’empathie à l’égard des patients discrédite définitivement le jugement !
Le désespoir de cet homme est celui que vivent de plus en plus d’invalides en Suisse, maltraités par une administration méprisante, jusqu’à la Cour sociale du Tribunal fédéral, qui n’a désormais de « social » plus que le nom.
Il est temps que cela cesse, et que les assurés puissent compter sur des experts neutres et indépendants, exerçant leur tâche dans des centres d’expertises constitués, non pour réaliser des bénéfices, mais sous forme d’institutions autonomes de droit public.
Ainsi, le geste de désespoir de cet homme ne sombrera pas dans l’oubli des colonnes d’un fait divers.
LES DESSOUS D’UN FAIT DIVERS
Jeudi 11 novembre peu après 7 heures du matin, le corps d’un homme est retrouvé, pendu à un arbre « devant un site administratif » (Tribune du 12 novembre
pour quelle raison a-t-il choisi de se pendre ainsi à la vue de tous , notamment des élèves et enseignants de l’Ecole de culture générale Henry-Dunant située légèrement en retrait du bâtiment fédéral ? ». Comprenez que lorsque l’on est à ce point désespéré, il devrait néanmoins subsister suffisamment de lucidité pour faire cela dans l’intimité !
Une piste est néanmoins esquissée, comprenne qui pourra : « La veille de son passage à l’acte, le désespéré a été vu sur les lieux, porteur d’une pancarte évoquant une demande administrative non satisfaite ».
Il est mort. Paix à son âme. Circulez y a rien à voir !
Pourtant, derrière ce geste, ce n’est pas seulement le drame d’un homme que l’on devine, mais la souffrance anonyme et silencieuse de tous ceux que notre administration broie sans état d’âme, au nom du sacro-saint assainissement de nos finances, pour qui tout rentier AI est un profiteur présumé qu’il convient de démasquer.
Vous l’aurez compris, ce que l’on ne vous a pas dit, c’est que cet Espagnol de 57 ans, retourné vivre dans son pays pour tenter de subsister dignement avec la modeste rente d’invalidité qui lui avait été accordée voici plusieurs années, s’était vu brutalement supprimer toute prestation au motif qu’il avait désormais retrouvé sa capacité de travail (sans doute un nouveau miracle que l’on doit au climat des pays qui nous ont fourni tous ces manœuvres, maçons et ouvriers de toutes sortes à qui l’on doit la construction de nos routes et bâtiments)
Parions que l’Office AI pour les assurés domiciliés à l’étranger, auteur de cette décision, et ayant son siège précisément à proximité de l’arbre choisi pour ce funeste dessein, a fondé sa décision sur l’un de ces remarquables rapports médicaux, établis par ces médecins, mercenaires de la sale besogne, dont la diligence est rémunérée 9000 francs « la pièce », ce qui, pour le Tribunal fédéral, ne suffirait pas encore à les rendre suspects de partialité, contrairement aux médecins traitants, dont l’empathie à l’égard des patients discrédite définitivement le jugement !
Le désespoir de cet homme est celui que vivent de plus en plus d’invalides en Suisse, maltraités par une administration méprisante, jusqu’à la Cour sociale du Tribunal fédéral, qui n’a désormais de « social » plus que le nom.
Il est temps que cela cesse, et que les assurés puissent compter sur des experts neutres et indépendants, exerçant leur tâche dans des centres d’expertises constitués, non pour réaliser des bénéfices, mais sous forme d’institutions autonomes de droit public.
Ainsi, le geste de désespoir de cet homme ne sombrera pas dans l’oubli des colonnes d’un fait divers.
- morettoNouveau regard
- Date d'inscription : 15/03/2011
Nombre de messages : 2
Re: Une mère en grève de la faim
Lun Mar 21 2011, 15:39
ON ATTEND LES PROCHAINES VICTIMES DES INJUSTICES COMMISES PAR LES ASSURANCES ET CELLE DE L'AI A NE PAS RECONNAITRE LES EXPERTS MEDECINS EN FAVEUR DE CETTE HANDICAPEE
potdefer a écrit:Voici le cas désespéré de cet homme un 12 novembre ..
LES DESSOUS D’UN FAIT DIVERS
Jeudi 11 novembre peu après 7 heures du matin, le corps d’un homme est retrouvé, pendu à un arbre « devant un site administratif » (Tribune du 12 novembre
pour quelle raison a-t-il choisi de se pendre ainsi à la vue de tous , notamment des élèves et enseignants de l’Ecole de culture générale Henry-Dunant située légèrement en retrait du bâtiment fédéral ? ». Comprenez que lorsque l’on est à ce point désespéré, il devrait néanmoins subsister suffisamment de lucidité pour faire cela dans l’intimité !
Une piste est néanmoins esquissée, comprenne qui pourra : « La veille de son passage à l’acte, le désespéré a été vu sur les lieux, porteur d’une pancarte évoquant une demande administrative non satisfaite ».
Il est mort. Paix à son âme. Circulez y a rien à voir !
Pourtant, derrière ce geste, ce n’est pas seulement le drame d’un homme que l’on devine, mais la souffrance anonyme et silencieuse de tous ceux que notre administration broie sans état d’âme, au nom du sacro-saint assainissement de nos finances, pour qui tout rentier AI est un profiteur présumé qu’il convient de démasquer.
Vous l’aurez compris, ce que l’on ne vous a pas dit, c’est que cet Espagnol de 57 ans, retourné vivre dans son pays pour tenter de subsister dignement avec la modeste rente d’invalidité qui lui avait été accordée voici plusieurs années, s’était vu brutalement supprimer toute prestation au motif qu’il avait désormais retrouvé sa capacité de travail (sans doute un nouveau miracle que l’on doit au climat des pays qui nous ont fourni tous ces manœuvres, maçons et ouvriers de toutes sortes à qui l’on doit la construction de nos routes et bâtiments)
Parions que l’Office AI pour les assurés domiciliés à l’étranger, auteur de cette décision, et ayant son siège précisément à proximité de l’arbre choisi pour ce funeste dessein, a fondé sa décision sur l’un de ces remarquables rapports médicaux, établis par ces médecins, mercenaires de la sale besogne, dont la diligence est rémunérée 9000 francs « la pièce », ce qui, pour le Tribunal fédéral, ne suffirait pas encore à les rendre suspects de partialité, contrairement aux médecins traitants, dont l’empathie à l’égard des patients discrédite définitivement le jugement !
Le désespoir de cet homme est celui que vivent de plus en plus d’invalides en Suisse, maltraités par une administration méprisante, jusqu’à la Cour sociale du Tribunal fédéral, qui n’a désormais de « social » plus que le nom.
Il est temps que cela cesse, et que les assurés puissent compter sur des experts neutres et indépendants, exerçant leur tâche dans des centres d’expertises constitués, non pour réaliser des bénéfices, mais sous forme d’institutions autonomes de droit public.
Ainsi, le geste de désespoir de cet homme ne sombrera pas dans l’oubli des colonnes d’un fait divers.
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